Cet automne, votre Président a demandé à Cap-Atlantique une coordination des actions de lutte contre le Baccharis à Cap-Atlantique. En effet sur notre commune interviennent : la mairie, Cap-Atlantique, les paludiers dans le cadres des contrats MAE (mesures agro-environnementales) et nous-mêmes. Depuis le 14 février 2018, la lutte contre cette espèce invasive est obligatoire. La coordination s’impose d’autant plus.
Cette demande a été faite avec les autres associations de la Presqu’île, DECOS et Pen Kiriak. Après 7 mois d’attente, la réunion a pu avoir lieu ce 16 avril avec les différents acteurs concernés sur la Presqu’île. Cap-Atlantique n’est pas très enthousiaste à la perspective de se voir attribuer une nouvelle charge de travail sur des zones qui ne sont pas Natura 2000. Nous avons insisté et espérons faire progresser cette coordination. Un document préparé par les Amis des sites pourrait être diffusé sur l’ensemble de la Presqu’île.
Il faut savoir qu’une graine de Baccharis pèse mois de 1/1000 de g. Elles sont emportées par le vent et peuvent franchir des dizaines de kilomètres. Une action concertée est indispensable
Nous continuerons d’intervenir vigoureusement pour venir à bout de l’arbuste qui dégrade fortement nos paysages.