Nous organisons un chantier dernier citoyen de coupe de Baccharis Jeudi 11 août à 9 h 30 route de Bel’air, en face le camping soir d’été. Il se terminera vers midi. Pour ce chantier, les bénévoles qui possèdent des débroussailleuses thermiques à dos ou à roues sont très bienvenus. Pour participer, il suffit de se présenter sur le site bien équipé : gants, bottes, cisailles mais surtout bonne volonté.
Ce mercredi 8 juin, Barbara Pompilli, secrétaire d’état à la Biodiversité s’est rendue sur l’un des chantiers du Collectif anti-Baccharis à Séné près de Vannes. Après avoir arraché symboliquement un arbuste à l’aide d’un « Baccharache » conçu par l’association, elle nous a donné la primeur d’une déclaration importante en matière de lutte contre toutes les espèces exotique envahissantes dont notamment le Baccharis.
Depuis 3 semaines, les brebis de Maurice Brosseau sont sur les marais à Kercabellec et au Rostu. Ces « faucheuses-débroussailleuses automotrices » sont à l’œuvre et ornementent joliment le paysage de nos marais. C’est un troupeau de 120 mères qui va activement lutter contre le Baccharis cette année. Rappelons que les Amis des sites sont très impliqués dans cette action. A côté de l’aide financière apportée,..
Après les restaurations de salines et de claires sur la zone Rostu- Kervarin, le prochain gros chantier sera l’édification d’un observatoire à oiseaux (photo d’un exemple)
La matin du 16 janvier dernier, une bonne douzaine de Mesquérais plein d’énergie ont répondu à l’appel des Amis des sites et de la municipalité pour participer au chantier citoyen de coupe de Baccharis. Le temps était avec eux, ce qui était très encourageant. Une nouvelle opération est prévue le 20 du mois. En savoir plus
Nous organisons avec la commune de Mesquer un chantier citoyen de coupe de Baccharis le 16 janvier à 9 h 30 route de Bel’air, en face le camping soir d’été.
CAP-Atlantique et la commune sont très conscientes du problème et financent de nombreux travaux pour lutter contre l’espèce invasive. Toutefois, la lutte est perdue d’avance si les habitants de la commune ne participent pas activement à l’éradication de la plante. Sur le Golfe du Morbihan, confrontés au même problème, les habitants participent déjà aux nombreux chantiers organisés.